La révolution bio, hier, aujourd’hui, demain
À l’occasion de la fête nationale, chez Priméal, on pense révolution. On pense, surtout, révolution bio, un mode de vie et de pensée ayant changé le visage de l’alimentation au cours des décennies passées ! L’occasion de faire le point sur une agriculture d’avenir qui nous tient à cœur…
Les débuts de la révolution bio
On les considérait comme des charlatans ou des idéalistes, ils étaient simplement en avance. Dès 1920, les pionniers de la révolution bio mettaient en garde contre la chimie de synthèse et les engrais minéraux. Et dès 1931, constituaient la première filière bio de France, à l’initiative de Raoul Lemaire. Ses principes ? Une agriculture plus naturelle, dans laquelle la fertilisation des sols ou la protection contre les parasites fait appel à des processus biologiques, plutôt qu’à des produits chimiques.
De la culture des sols à la fabrication des farines, le mouvement fait des émules, et le terme « agriculture biologique » s’impose dans les années 50, suivant l’exemple de « l’organic farming » anglosaxon. L’histoire est en marche, et le premier Groupement de l’agriculture biologique de l’Ouest voit le jour en 1958, puis l’Association française d’agriculture biologique en 1961… jusqu’à la toute première foire des produits biologiques en 1969, qui s’installera l’année suivante au salon de l’agriculture de Paris pour ne plus la quitter !
Priméal marque engagée dans la révolution bio
Aujourd’hui, la révolution bio ne consiste plus seulement à éliminer les produits de synthèse de l’agriculture. Il s’agit tout autant d’améliorer les conditions de vie des animaux d’élevage, quels qu’ils soient, ou de proposer des produits bio de qualité supérieure, basés sur un commerce équitable à la traçabilité sans faute. En résumé ? Respecter l’animal, l’humain et la planète, d’un bout à l’autre de la chaîne.
Chez Priméal, nous avons à cœur de respecter ces engagements, nos engagements : ceux d’une marque bio pionnière, militant depuis plus de 25 ans en faveur d’un monde nouveau. Ce, en développant des filières bio et qualitatives, éthiques et solidaires, du riz de Camargue au quinoa de Bolivie, en passant par le petit épeautre de Haute Provence ou la châtaigne d’Ardèche !
Révolution bio, le monde de demain
Si elle est toujours considérée par certains comme marginale, idéaliste, difficile ou peu rentable, l’agriculture biologique gagne chaque jour un peu plus le cœur des consommateurs. Et leurs palais, tant la différence de qualité se fait remarquer…
Mieux, après des débuts difficiles, les terres cultivées suivant les principes bio offrent généralement un rendement supérieur aux autres. De quoi séduire les acheteurs et motiver les producteurs, pour mieux nous engager en faveur d’une révolution bio qui ne fait, finalement, que commencer !